Alors que d'immondes pirates mettent en danger notre sacro-saint petit écran à coup de téléchargements illégaux, un homme, un surhomme que dis-je, se dresse seul pour défendre la ménagère de moins de quarante ans et les CSP+. Ce héros se nomme: El programator.
(retrouvez la sélection télé chaque midi sur la page facebook)

vendredi 29 janvier 2021

Mort à 2020

J'avais vaguement entendu parler de ce mocumentaire lors de sa sortie l'année dernière. Je n'avais pas encore eu le temps de m'y attarder mais l'erreur est réparée et il est temps de voir si ce film est aussi affreux que l'année qui l'a inspiré.




Diffusion : 27 décembre 2020 sur Netflix 
Durée : 1h 00min 
Genre : Documentaire, Comédie
Réalisation : Al Campbell, Alice Mathias
Casting : Samuel L. Jackson, Hugh Grant, Kumail Nanjiani

Nationalité britannique

Synopsis :

Maintenant que 2020 est terminé, il est temps d'en faire le bilan pour voir si c'était la pire année de l'histoire de l'Humanité.


Critique :


Mort à 2020
est un bilan de l'année 2020 commenté par de faux intervenants. Les images sont donc de vrais images d'archives (journaux télé principalement) et elles illustrent de véritables événements qui ont frappés l'année passé. Mais le tout est commenté par une série d'intervenants factices qui permettent d'appuyer le propos de la voix off. Journaliste, historien, scientifique et gens ordinaires tous expliquent en quoi cette année était extraordinaire.

Car si nous sommes principalement marqué par la Covid, nous oublions bien vite une actualité politique particulièrement marquante ainsi que des phénomènes de société et d'autres catastrophes naturelles très inquiétantes (non Trump n'est pas une catastrophe naturelle).

Tous les éléments d'un vrai documentaire sont donc présents et, si l'on excepte l'humour grinçant, rien ne différencie Mort à 2020 d'un documentaire plus traditionnel. La mise en image est efficace, le rythme maitrisé, nous sommes clairement dans un modèle du genre.

L'intérêt de ce film est donc bien de faire le point sur l'année passé tout en se distrayant et soyons clair les deux points sont remportés haut-la-main. 

Le casting est un petit plus non négligeable pour la qualité de l'ensemble : entre un Samuel L. Jackson (Kong, Kingsman, les 8 salopards, etc) aussi bad-ass qu'a son habitude, un Hugh Grant (Cloud Atlas, 4 mariage 1 enterrement, etc) méconnaissable mais hilarant de mauvaise foi et une Lisa Kudrow (la fille du train, etc) aussi décalé qu'a la bonne époque de Friends, les intervenants se suivent et ne se ressemblent pas mais ajoutent tous une saveur humoristique redoutable. Mention spéciale pour Cristin Milioti (How i met your mother <3 ) dans un rôle savoureusement inquiétant.


Au registre des quelques regrets, on notera surtout que le film tourne essentiellement autour des états-unis, un choix logique pour s'adresser à un plus grand public mais j'avoue qu'égoïstement j'adorerais une version plus française de ce film.

Une fois de plus, les créateurs de Black Mirror prouvent qu'ils ont une certaine acuité en ce qui concerne le fonctionnement de notre société. Ce documentaire est d'autant plus intéressant que a Covid nous empoisonne l'esprit et nous fait parfois oublier que tout ne se résume pas à ce foutu virus, d'autres choses, graves également, continuent de se dérouler dans le monde. Une très bonne surprise d'autant que le format plutôt court permet de ne pas laisser le temps au spectateur de s'ennuyer. Je recommande chaudement et j'espère une suite en 2021.


Conclusion :

Une belle façon d'exorciser une année particulièrement marquante en espérant que 2021 ne tentent pas de la concurrencer.

lundi 25 janvier 2021

Sweet home

Je n'avais pas eu le temps de finir la série en 2020 et elle n'avait donc pas été comptabilisé dans le top 10. Mais que vaut vraiment cette série d'horreur Corréenne ?



Date de diffusion : 2020 
Durée : 10 x 60min 
Genre : Epouvante-horreur, Fantastique, Thriller
Titre original : Seuwiteuhom
Création : Lee Eung-bok
Casting : Song Kang, Jin-wook Lee, Lee Si-young
Nationalité Corée Du Sud

Chaîne d'origine Netflix


Synopsis :

Venu s'installer seul dans un vieil hôtel délabré, un ado va devoir faire face à une mystérieuse invasion de monstre qui les menacent lui et ses voisins. Un danger d'autant plus mortel que chacun d'entre eux pourrait se transformer à tout moment.


Critique :


 Sweet home est l'adaptation d'un manhwa (manga coréen) sortie exclusivement sur internet sur la plateforme Webtoon. Le pitch est assez classique et évoquera le genre de l'invasion zombie. On se retrouve donc dans un huis-clos où, à l'instar d'un Walking Dead ou d'un Dernier Train pour Busan, le danger réside parfois plus chez le autres humains que chez les monstres. 

S'il n'y a pas beaucoup d'originalité dans le propos, la série sait pourtant se faire passionnante par une richesse de personnages attachants et une variété des situations. Les survivants devront bien entendu s'organiser pour survivre aux monstres mais aussi pour survivre tout court car ils ne peuvent désormais plus compter sur personne d'autre. Outre le côté anxiogène, la série possède également une teinte très mystérieuse, de nombreuses secrets sont à découvrir; sur les personnages déjà, mais également sur l'épidémie et ses conséquences. Il y a de fortes chances que vous soyez surpris à plus d'une occasion car le scénario ne cède pas à la facilité et les résolutions ne seront pas toujours celles qui paraissent les plus évidentes. Attendez-vous d'ailleurs à pleurer des personnages, les scénaristes sont très loin de ne sacrifier que les figurants, des personnages importants périront de façons terribles.

Au niveau du casting, je ne connais aucun des acteurs mais ils sont tous très bon. J'apprécie particulièrement la grande différence d'âge entre tous, ce qui permet d'incarner au mieux une population de 7 à 77 ans. Bien entendu, il faudra

passer outre la différence de jeu, les acteurs asiatiques sont beaucoup lus expressif que les occidentaux, il faut l'accepter, et regarder en VO car c'est impossible de faire un doublage de qualité sur ce genre d'œuvre. Les personnages sont variés et tous attachants à leur façon, que ce soit par leur force, leur gentillesse ou leur lâcheté, il ressort une grande humanité de ce petit microcosme. A signaler la modernité des personnages, les femmes peuvent se révéler très "masculine" et les hommes plus "efféminés" l'écriture ne cède pas aux stéréotypes (sauf celui du "sale capitaliste" mais on ne le relèvera jamais assez) et ça fais du bien.

Visuellement, on en prend plein les mirettes. Les monstres sont magnifiques, très organiques et très variés. On se régale de découvrir chaque nouvelle créature et ses particularités. Les images sont également parfois superbes avec un étalonnage très appuyé et réussi. La série n'hésite pas à se montrer gore, nous sommes vraiment devant une série d'horreur et le sang va couler à flot. âme sensible, s'abstenir.


Niveau musique, quelques audaces intéressantes, le générique notamment à tout d'un requiem, ce qui donne une coloration quasi religieuse, mais surtout apocalyptique, à la série. A contrario, le thème un peu pop utilisé pour marquer certaines scènes d'action importantes confère une intrigante modernité à l'ensemble et beaucoup de dynamisme (un côté très dessin animé, je trouve).

Vous l'aurez compris, je suis totalement emballé. J'aurais quelque reproches tout de même, dans ce foisonnement créatif les choses ne sont pas toujours très claires. Scénaristiquement, il arrive qu'on ne comprenne pas bien qui est qui (je pense au devenir du gardien de l'immeuble notamment) et visuellement l'action est parfois brouillonne (le premier combat avec la créature enflammée est incompréhensible) mais rien qui ne pénalise la compréhension globale.

Si le cliffhanger n'est pas particulièrement efficace, il n'en donne pas moins envie de savoir ce que peut
devenir cette univers. Le potentiel est énorme et j'adorerais voir au moins une saison 2. Si vous avez apprécier Le dernier train pou Busan, cette série est à voir absolument, vous y retrouverez la même créativité, la même force dans les personnages et la même violence dans la vision de la société. Pour moi, un grand must malgré les défauts.



Conclusion :

Une série originale qui ne pourra que combler les fans de cinéma Corréen et devrait agréablement surprendre les amateurs d'horreur.

lundi 18 janvier 2021

Lupin, dans l'ombre d'Arsène (partie 1)

Je vous en avait parlé en conclusion du top 10 2020, finalement que vaut la nouvelle série Française produite par Netflix ? Voyons cela ensemble.



Diffusion sur Netflix : Janvier 2021 
Durée : 5 x 45min 
Genre : Drame, Policier
Création : George Kay
Casting : Omar Sy, Ludivine Sagnier, Clotilde Hesme
Nationalités :France, U.S.A.

Chaîne d'origine Netflix France 


Synopsis :

Arnaqueur de haute volée, Assane Diop cherche à venger la mort de son père, piégé par son employeur 25 ans plus tôt. Pour cela, il va s'inspirer du héro qui l'a aidé à se construire : Arsène Lupin. 


Critique :


Clarifions déjà un point, si vous ne l'avez pas compris avec le résumé, cette série n'est pas une nouvelle adaptation des romans de Maurice Leblanc. Il s'agit au contraire d'un hommage où l'on suit un fan du gentleman cambrioleur qui s'inspire de ses œuvres. Si le créateur de la série est anglais, il s'agit bel et bien d'une série Française. On retrouvera ainsi le réalisateur Louis Leterrier (Dark Crystal : le temps de la résistance, Insaisissable, etc), le scénariste François Uzan (Family Business, Dead Landes, etc) et bien entendu Omar Sy (Jurassic World, L'écume des jours, etc). Ce qui fait que je vais devoir dire cette chose horrible et pourtant vraie : pour une série française, c'est très impressionnant, mais pour une série c'est franchement passable.

Plusieurs raisons à cela, à commencer par l'écriture. Les ficelles sont énormes, le spectateur ne sera que

très rarement surpris où alors devant la bêtise bien pratique des policiers. Dans un dessin animé, ça ne générait pas, dans une fiction qui se veut réaliste c'est un peu plus problématique. L'autre problème, c'est le jeu d'acteur. Si Omar illumine le show de son charisme bonhomme, le reste du casting est plus aléatoire et certaines répliques (là encore l'écriture peut être mise ne cause) sonne vraiment théâtre de boulevard.

Alors oui, en 5 épisodes de 40 minutes, le spectateur n'a pas vraiment le temps de s'ennuyer et l'histoire est suffisamment bien construite pour emporter l'adhésion du spectateur. Mais une fois ces 5 épisodes terminés que reste-t-il ? Pas grand chose, à peine l'envie de voir la suite.


J'apprécie tout de même les valeurs positives du show. Si ce Lupin des temps moderne est un escroc, il n'utilise pas inutilement la violence, il ne tue pas, il ne vole pas n'importe qui. C'est un homme de principe qui lutte contre les injustices. Sa relation avec son ex-femme est également plaisante, pas de guerre stérile, juste un homme et une femme qui s'aiment mais n'arrivent pas à vivre ensemble, c'est traité intelligemment et ça donne un modèle plutôt rare et plaisant. 

A noter qu'a l'heure actuelle nous ne savons pas quand sera diffusée la deuxième partie de la série mais elle a déjà été tournée.

Dans l'ensemble, je n'ai pas passé un mauvais moment devant Lupin, et la série aurait même pu devenir culte avec quelques efforts dans l'écriture, reste un divertissement familial honnête mais qui ne marquera guère.




Conclusion :

Un bel hommage au célèbre gentleman cambrioleur, une série bien produite et bien campé par Omar Sy mais qui manque d'originalité et de finesse.

mercredi 13 janvier 2021

Lovecraft Country

Je vous en ai parlé dans le top 10 mais je n'avais pas encore eu le temps de faire la critique, l'erreur est maintenant réparée, voici mon retour sur Lovecraft Country.


Diffusion sur HBO aout 2020 
Durée : 10 x 60min 
Genre : Drame, Epouvante-horreur, Fantastique
Création : Misha Green, Jordan Peele
Casting : Jurnee Smollett-Bell, Jonathan Majors, Aunjanue Ellis
Nationalité : U.S.A.

Chaîne d'origine HBO

Synopsis:

Atticus Black, un jeune américain noir de retour de la guerre de Corée part à la recherche de son père qu'il déteste. Un voyage initiatique sur les traces d'origines qu'il ne soupçonne pas et qui vont remettre en question toute son existence ainsi que celle de ses proches.

Critique :


Bon, pas la peine de le cacher plus longtemps, Lovecraft Country était une des claques majeures de cette année. Sur certains point, la série m'aura beaucoup fait pensé à la série Watchmen (à voir absolument) sortie en 2019 sur HBO et qui partageait des thématiques similaires, notamment sur le racisme et la place des minorités dans la fiction de genre.

En effet, si les synopsis des épisodes de Lovecraft Country puisent allégrement dans des classiques du fantastique (maison hanté, affrontement de créatures surnaturelles, rituels, etc) ils le font par le prisme de la communauté noire, une communauté pauvrement représentée en fiction de genre (à l'exception bien sûr du sempiternel "black de service" le personnage rigolo qui crèvera en premier) ce qui donne une relecture riche et originale d'histoires pourtant déjà connues. On ne s'étonnera pas de retrouver à la production Jordan Peele (Get Out, Us, etc) qui s'était déjà illustré par des scénarios habiles et la mise avant de la communauté noire là où on ne la trouve pas d'habitude. Mais le réalisateur a su s'entourer puisqu'il travaille en collaboration avec Misha Green, une scénariste de série expérimentée qui a travaillée sur des séries variées et reconnues comme Sons of Anarchy, Spartacus ou Heroes et bien sûr J.J Abrams (Star Wars, Star Trek, etc) show runner réputé, habitué des projets ambitieux spectaculaires et qui a participé au renouvellement de l'écriture des séries dans les années 2000. Aussi hétéroclite que soit ce petit groupe, il réussit à produire une série aussi impressionnante que divertissante et intelligente. Car oui, Lovecraft Country réussit à divertir son public sans l'abrutir et en illustrant les méfaits du racisme historique et systémique. C'est à mes yeux la force des grandes fictions que de divertir intelligemment.

A noter que si l'histoire se repose sur des classiques, les scénaristes ont su les renouveler et vous aurez

plus d'une occasion d'être surpris par la tournure que prendra l'histoire et par l'utilisation de certains personnages.

Niveau casting, pas grand chose à dire, j'avoue que je ne connais aucun de ses membres. La découverte n'en fut que meilleure vu qu'ils sont tous très bon. On s'attachera particulièrement à Jonathan Majors vu qu'il s'agit du personnage principal et qu'il est très touchant mais aussi à Jurnee Smollett Belle, premier rôle féminin, un personnage fort très réussi et extrêmement bien écrit. Dans l'ensemble les personnages sont d'ailleurs tous intéressant, l'écriture n'est pas manichéenne et si les blancs sont souvent les méchants les noirs sont rarement des anges.


Visuellement, le budget est conséquent et ça se sent, les effets spéciaux sont impressionnants et les monstres très réussi. L'histoire se déroulant dans les années 50, on notera aussi la qualité de la reconstitution. Décors, costume, tout participe au dépaysement et à la qualité du show.

Globalement, je n'aurais qu'une seule chose à reprocher à cette série, Misha Green à déjà fait quelques révélations concernant une suite à la première saison et elle a révélé que l'histoire suivrait de nouveaux personnages sans lien avec les héros de la saison 1. Lovecraft Country serait donc une anthologie à l'image d'un American Horror Story ou d'un Fargo, un choix que je regrette car si la saison 1 apporte une fin acceptable elle ouvre surtout tout un monde de possible que j'aurais aimé voir exploré. Un défaut bien moindre au regard des nombreuses qualités de l'ensemble, je souhaite donc une longue vie à cette nouvelle série et j'espère être aussi agréablement surpris par la suite.




Conclusion :

Une excellente surprise que cette relecture des classiques de l'horreur et du fantastique par le prisme du racisme. On reconnait la pate de Jordan Peele, l'écriture de Misha Green et la démesure de JJ Abrams, un régal.

lundi 4 janvier 2021

Top 10 série 2020

Comme à chaque fois voici mon petit top 10 de l'année écoulée. Pour une fois, il s'agira d'un top séries, l'année n'ayant pas été favorable au cinéma mais rassurez vous, je continuerai à vous parler des films en salle à la moindre occasion.

Et n'oubliez pas, si vous aimez ce blog et voulez me soutenir dans mon travail vous pouvez participer à la sortie de mon prochain livre jusqu'au 7 janvier : https://fr.ulule.com/carrousel-funeste-la-trilogie/ 

Le top

Les choix surprendront probablement certains mais je rappelle qu'un top c'est forcément subjectif. Même si certaines qualités objectives indéniables servent à séparer le bon grain de l'ivraie, lorsqu'il s'agit de classer une sélection aussi infime d'œuvre il faut également définir des critères plus personnels.


10) Crisis Jung : https://elprogramator.blogspot.com/2020/01/crisis-jung.html


Un dessin animée déjanté, un mad-max parodique et basé sur les méthodes de thérapie de Jung. Une série coup de poing à ne pas mettre entre les mains des plus sensibles.



09) Dispatches from elsewhere : https://elprogramator.blogspot.com/2020/08/dispatches-from-elsewhere.html


Une série délicieusement décalée signée Jason Segel. Ce n'est pas vraiment feel good mais c'est porteur de belle valeurs humaines et réalisé avec beaucoup d'imagination.



08) Better call saul : https://elprogramator.blogspot.com/2020/09/better-call-saul-saison-1.html


Le spin-off de la cultissime série Breaking Bad, une série qui dépasse presque la série d'origine dans un style plus judiciaire mais tout autant maitrisé.



07) Umbrella academy : https://elprogramator.blogspot.com/2020/08/umbrella-academy.html


L'adaptation du comics du même nom, une série décalée et complétement folle


06) Fargo : https://elprogramator.blogspot.com/2020/12/fargo-saison-4.html


L'adaptation en série du film culte des frères Coen, Noah Hawley a su transcender l'esprit des célèbres frangin pour en offrir une version passionnante.



05) Baron Noir : https://elprogramator.blogspot.com/2020/03/baron-noir.html


Le House of cards à la française, une œuvre parfaitement maitrisée et une vision d'une grande acuité de la politique française.



04) The queen's gambit : https://elprogramator.blogspot.com/2020/11/the-queens-gambit-le-jeu-de-la-dame.html


Le succès inattendu de Netflix, l'histoire d'une femme qui cherche à devenir grand aître des échecs dans les années 50. Un rythme redoutable pour une série aussi finement écrite que réalisée.



03) Dark : https://elprogramator.blogspot.com/2020/08/dark-saison-1.html


L'incroyable série Allemande, 3 saisons sombres et haletantes sur une série de voyage dans le temps très bien construite avec un sens du détails assez rare. 



02) Lovecraft Country : article à venir


Après Get out et US, Jordan Peele dynamite les séries télé en créant un hommage aux genre SF et Fantastique qui fait la part belle à la communauté noire. C'est finement écrit et spectaculaire.



01) Bojack Horseman : https://elprogramator.blogspot.com/2020/02/bojack-horseman.html


L'incroyable dessin animé de Netflix, une série aussi drôle que déprimante, Bojack était un personnage particulièrement attachant et suivre sa lente descente aux enfers était un plaisir coupable assez rare.

vendredi 1 janvier 2021

Live Facebook 

Une petite news pour informer ceux qui ne suivraient que le blog que : ce soir à 20h sur la page Facebook, j'animerais en live le Top 10 des séries de l'année. 

N'hésitez pas à venir voir ça, ce sera l'occasion d'échanger et de voir aussi les programmes qui vous ont marqués cette année. Une bonne façon de commencer 2021 me semble-t-il.

Sauf souci technique, ce tournage me servira à monter une version plus courte comme les années précédentes.

A ce soir