Brooklyn Nine-Nine est une série parodique qui jouit d'une certaine notoriété depuis quelques années. Je n'avais pas encore eu l'occasion de m'y pencher mais c'est désormais chose faite. Voyons ensemble si sa réputation est méritée ou pas.
Date de diffusion : 2013 - en cours
la huitième saison commencera en 2021
Six saison disponible sur Netflix
Durée d'un épisode: 22min (entre 18 et 23 épisodes par saisons )
Genre : Comédie, Policier
Réalisation : Dan Goor, Michael Schur
Castng : Andy Samberg, Andre Braugher, Melissa Fumero
Nationalité : U.S.A.
Le quotidien du commissariat 99 de Brooklyn et de son équipe de bras pas si cassé que ça après l'arrivé d'un nouveau commissaire.
Critique :
Brooklyn Nine Nine est une création de Dan Goor qui a travaillé sur la réputée Parks and recreation (que je n'ai pas encore vu) et Michael Schur qui a aussi travaillé sur Parks mais surtout sur The office (que j'ai tellement cité ces derniers temps qu'il va falloir que je me décide à la critiquer) et a plus récemment créé The Good Place (a voir absolument). Un duo qui a donc de belles références à son palmarès et qui le prouve avec une série d'une redoutable efficacité.
Brooklyn 99 c'est le faux quotidien d'un commissariat mais surtout l'occasion d’entraîner toute une bande de personnages loufoques dans des histoires n'ayant que rarement à voir avec la police. Si le parallèle n'est pas exacte, j'ai beaucoup pensé à Scrubs (à voir absolument) dans la façon qu'a la série de s'attacher à un personnage central d'apparence insouciant autour duquel rayonne une pléiade d'autres personnages savoureusement décalés.
Ainsi dans Brooklyn 99 on suivra essentiellement Jake Peralta (Ultra charismatique Andy Samberg) super flic totalement immature qui devra s'adapter à l'arrivé d'un nouveau commissaire un peu trop protocolaire (à la limite de C-3PO ). A ses côtés on trouvera la flic fayot, la flic rebelle, le flic déconnecté, le flic papa poule, etc. Tous ont leur petit plus et leurs moments de mise en avant. Si Jake est le maillon centrale de la chaîne, la série fonctionne vraiment grâce aux interactions de tous ces personnages. (que serait Jake sans Boyle sinon une pizza sans anchois ?)
Des personnages plutôt modernes puisqu'on trouve beaucoup de diversité tant dans les origines que dans les sexualités et les caractères. On notera plusieurs personnages féminins réussis à l'image de Gina la secrétaire jeanfoutre qui imprègne la série de son aura méprisante.
Chaque épisode est indépendant, on retrouve le classique américain des épisodes saisonniers (spécial Halloween, Noel, etc) et il y a quelques fils rouges pour maintenir l'ensemble (la relation entre Jake et Amy classique cas de "Will they won't they" ) et il y a même un cliffangher de fin de saison.
N'en doutez pas, la mécanique est redoutablement huilé mais surtout c'est très drôle.
Niveau réalisation, pas grand chose à dire, c'est très classique, peu de lieux, quasi pas d'extérieur, peu de mouvement de caméra, on vise l'efficacité. Ne vous attendez pas non plus à suivre des scènes d'actions haletantes. Si les premiers épisodes présentent des enquêtes traditionnelles avec des poursuites et des arrestations musclées, cela disparaît très vite sans créer le moindre manque.
J'ai attaqué la saison 2 je referais donc probablement une autre critique pour vous parler de l'évolution de la série mais pour le moment ça ne s’essouffle pas, les personnages sont toujours aussi attachant et les pistes de récurrences sont déjà posées (les pompiers,le pari d'Halloween, etc)
A voir absolument si vous avez besoin de vous détendre.
Brooklyn 99 c'est le faux quotidien d'un commissariat mais surtout l'occasion d’entraîner toute une bande de personnages loufoques dans des histoires n'ayant que rarement à voir avec la police. Si le parallèle n'est pas exacte, j'ai beaucoup pensé à Scrubs (à voir absolument) dans la façon qu'a la série de s'attacher à un personnage central d'apparence insouciant autour duquel rayonne une pléiade d'autres personnages savoureusement décalés.
Ainsi dans Brooklyn 99 on suivra essentiellement Jake Peralta (Ultra charismatique Andy Samberg) super flic totalement immature qui devra s'adapter à l'arrivé d'un nouveau commissaire un peu trop protocolaire (à la limite de C-3PO ). A ses côtés on trouvera la flic fayot, la flic rebelle, le flic déconnecté, le flic papa poule, etc. Tous ont leur petit plus et leurs moments de mise en avant. Si Jake est le maillon centrale de la chaîne, la série fonctionne vraiment grâce aux interactions de tous ces personnages. (que serait Jake sans Boyle sinon une pizza sans anchois ?)
Des personnages plutôt modernes puisqu'on trouve beaucoup de diversité tant dans les origines que dans les sexualités et les caractères. On notera plusieurs personnages féminins réussis à l'image de Gina la secrétaire jeanfoutre qui imprègne la série de son aura méprisante.
Chaque épisode est indépendant, on retrouve le classique américain des épisodes saisonniers (spécial Halloween, Noel, etc) et il y a quelques fils rouges pour maintenir l'ensemble (la relation entre Jake et Amy classique cas de "Will they won't they" ) et il y a même un cliffangher de fin de saison.
N'en doutez pas, la mécanique est redoutablement huilé mais surtout c'est très drôle.
Niveau réalisation, pas grand chose à dire, c'est très classique, peu de lieux, quasi pas d'extérieur, peu de mouvement de caméra, on vise l'efficacité. Ne vous attendez pas non plus à suivre des scènes d'actions haletantes. Si les premiers épisodes présentent des enquêtes traditionnelles avec des poursuites et des arrestations musclées, cela disparaît très vite sans créer le moindre manque.
J'ai attaqué la saison 2 je referais donc probablement une autre critique pour vous parler de l'évolution de la série mais pour le moment ça ne s’essouffle pas, les personnages sont toujours aussi attachant et les pistes de récurrences sont déjà posées (les pompiers,le pari d'Halloween, etc)
A voir absolument si vous avez besoin de vous détendre.
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